samedi 12 août 2017

Célébration des funérailles chrétiennes


POLITIQUE DE L'UNITÉ MISSIONNAIRE DE L'OUESTDIOCÈSE SAINTE-ANNE-DE-LA-POCATIÈRE
La mise en place du Tournant missionnaire dans le diocèse de Sainte-Anne-de-La-Pocatière implique une révision des pratiques pastorales en matière de célébration des funérailles pour l'ensemble du territoire de la nouvelle entité connue sous le nom d'Unité missionnaire de l'Ouest, regroupant les anciennes Unités pastorales de Montmagny-Nord, Montmagny­Sud et L'Islet-Sud. Les politiques en place dans chacune des anciennes Unités pastorales sont abolies et remplacées par la présente politique.
La nouvelle unité missionnaire de l'Ouest comprend les communautés suivantes:
Montmagny-Nord - Saint-Mathieu, Saint-Thomas, Cap-Saint­Ignace, Saint-Pierre-du-Sud, Saint-François-de-Sales, Notre-Dame-de-l'Assomption de Berthier-sur-Mer, Saint-Antoine de l'Isle-aux-Grues
Montmagny-Centre - Sainte-Euphémie, Saint-Paul-de‑Montminy, Sainte-Apolline, Notre-Dame-du-Rosaire

Montmagny-Sud - Saint- Fabien-de-Panet, Sainte-Lucie-de­-B eauregard, Saint-Just-de-Bretenières, Saint-Léonidas du Lac-Frontière.

L'Islet-Sud - Saint-Omer, Saint-Pamphile, Sainte-Perpétue, Saint-Adalbert, Saint-Marcel, Sainte-Perpétue, Saint-Clément de Tourville

La famille endeuillée contacte en premier lieu la maison funéraire à qui elle entend confier l'organisation des funérailles afin de déterminer la date, l'heure et le lieu des funérailles. Par la suite, la maison funéraire prend contact avec la personne-lien de l'équipe de l’Unité missionnaire de l'Ouest afin de confirmer le moment et le lieu de la célébration en tenant compte des ressources disponibles.

La personne-lien de l'équipe d’Unité confirmera à la paroisse concernée la tenue d'une célébration de funérailles et lui fournira toutes les informations nécessaires pour l'organisation de celles-ci.

Afin de valoriser le sens du dimanche et des fêtes majeures chrétiennes, il n'y a pas de célébration de funérailles avec eucharistie le dimanche, la journée de Noël, la journée du Nouvel An, la journée du Vendredi Saint et la journée du Samedi Saint.
Une célébration de la Parole dans une maison funéraire peut se tenir en tout temps, à la convenance de la maison funéraire, de la famille et de la disponibilité d'un diacre ou d'un membre de l'équipe de laïcs de l'Unité pour présider une telle célébration.

L'équipe d’Unité a formé une équipe de laïcs habilités à présider une célébration de la Parole dans les maisons funéraires et des funérailles sans eucharistie à l'église. Ces célébrations sont présidées par un diacre ou une personne laïque formée et mandatée par l'équipe. Les familles désireuses de tenir une telle célébration pour un défunt en formulent la demande à la maison funéraire qui, elle, contacte la personne-lien de l'équipe d'Unité celle-ci désignera la personne qui présidera la célébration.
Le salon funéraire est le lieu par excellence pour les familles pour accueillir leurs parents et amis afin de recevoir les condoléances. Pour des motifs pastoraux, l'équipe d'Unité privilégie fortement cet endroit comme lieu d'accueil et d'échanges avant la célébration des funérailles.

L'échange de condoléances à l'église sera permis avec la présence d'un cercueil ou en présence des cendres pour les paroisses ne disposant pas de locaux pouvant servir à l'échange de condoléances.
Les réaménagements pastoraux dans le diocèse de Sainte-Anne auront comme effet d'augmenter considérablement le nombre de paroisses qui sera confié à un prêtre. La possibilité qu'un prêtre préside une célébration des funérailles sera de plus en plus compromise.
La présence d'un prêtre est réservée pour la célébration de funérailles avec eucharistie à l'église. La présidence de célébrations de la Parole dans une église, dans une maison funéraire ou au mausolée et d'un rituel d'inhumation sera assumée par un diacre ou une personne laïque formée et mandatée.
Lorsqu'une famille demande un prêtre non-membre de l'équipe missionnaire, les honoraires et frais de déplacements sont à la charge de la famille qui en fait la demande.
Les paroisses de l'Unité tiennent une célébration commémorative un dimanche du mois de novembre afin de faire mémoire des fidèles décédés au cours de la dernière année. Les familles des défunts ayant eu une célébration de la Parole dans une maison funéraire ou au mausolée, ou une célébration de funérailles à l'église (avec ou sans eucharistie) et qui en ont manifesté le désir, sont invitées à prendre part à la célébration commémorative.

Les paroisses de l'Unité missionnaire tiennent une messe anniversaire communautaire un seul dimanche de chaque mois afin de faire mémoire des fidèles décédés en ce mois, un an plus tôt. Les familles des défunts ayant eu une célébration de la Parole dans une maison funéraire ou au mausolée ou une célébration de funérailles à l'église (avec ou sans eucharistie) et qui en ont manifesté le désir, sont invitées à prendre part à la messe anniversaire. La date de référence pour la tenue de la messe anniversaire est la date du décès d'un défunt et non la date de la célébration de ses funérailles.

Des paroissiens ont effectué des dépôts funéraires auprès de leur fabrique qu'on appelle aussi pré-arrangements afin de défrayer à l'avance le coût de leurs funérailles. Les pré-arrangements doivent être consignés en utilisant les contrats prévus à cet effet par le diocèse. Un pré-arrangement ne garantit pas automatiquement la présence d'un prêtre lors de la célébration des funérailles.



Le présent feuillet est un résumé de la politique sur les funérailles de la nouvelle unité missionnaire qui entre en vigueur le 1er août 2017. On pourra consulter ou avoir une copie complète de la politique au bureau de la fabrique.

mercredi 21 juin 2017

Le tournant missionnaire

Le tournant missionnaire de nos communautés



Ce tournant missionnaire affecte la « pastorale ordinaire » qui s’oriente vers la croissance des croyants, la rencontre des personnes qui bien que baptisées, ne vivent pas les exigences de leur baptême, « qui n’ont pas une appartenance du cœur à l’Église et ne font plus l’expérience de la consolation de la foi », el’activité proprement missionnaire  par  laquelle  l’Église  annonce « lÉvangile à ceux qui ne connaissent pas Jésus Christ ou l’ont toujours refusé. » (EG 15) Ainsi, chacun est concerné quel que soit son lieu d’engagement et le service ecclésial auquel il est appelé. Ce faisant, ce tournant missionnaire est susceptible de renouveler autant la pastorale ordinaire, ses pratiques anciennes ou habituelles que de susciter des pratiques nouvelles à destination des baptisés qui n’ont plus d’appartenance de ur à l’Église ou de ceux qui ne connaissent pas le Christ et son Évangile. Adhérer à la vision suivant laquelle « laction missionnaire est le paradigme de toute tâche de l’Église » (EG 15), c’est dire que toute activi ecclésiale, même la « pastorale ordinaire », aura une orientation missionnaire. Nos pratiques, nos structures, nos habitudes pastorales en seront profondément affectées. Il ne s’agit donc pas de créer, à côté ou en marge de nos programmes ou activités actuelles, un volet missionnaire à destination de ceux qui ne connaissent pas le Christ. Il s’agit de convertir l’ensemble de lactivité pastorale, la rendant plus missionnaire. Évidemment, toutes les activités pastorales ne sont pas nécessairement nommées dans ce document, mais les orientations qui y sont données s’adressent à l’ensemble de celles-ci. Le pape le précise clairement en proposant un « style évangélisateur » qu’il « invite à assumer dans l’accomplissement de toute activité. » (EG 18) Aucune activité n’échappe donc à cette conversion missionnaire ou n’est soustraite aux révisions et au renouveau qui s’impose.

« Jespère que toutes les communautés feront en sorte de mettre en œuvre les moyens cessaires pour avancer sur le chemin d’une conversion pastorale et missionnaire, qui ne peut laisser les choses comme elles sont ». (EG 25)

Devenir une Église en sortie commande une conversion des cœurs et des mentalités, une conversion des pratiques ou des modes d’agir, conversion également des cadres juridiques et des organisations, conversion sur le plan de l’affectation des ressources et du redéploiement du personnel, etc. Dans les pages qui suivent, nous considérerons brièvement trois de ces niveaux.

Source : Assemblée des Évêques catholiques du Québec, 2016


mercredi 24 mai 2017

Sainte-Marthe : non à une Église tranquille, confortable, tiède
Une Église qui a peur de chasser le seigneur argent n’est pas l’Église de Jésus
Messe Du 23 Mai 2017 À Sainte-Marthe © L'Osservatore Romano
« Le mauvais esprit préfère une Église tranquille sans risques, une Église des affaires, une Église confortable… tiède », a souligné le pape François lors de la messe du 23 mai 2017 à la Maison Sainte-Marthe au Vatican. Une Église qui a peur de chasser le seigneur argent, a-t-il averti, n’est pas l’Église de Jésus.
Sur le chemin de la conversion, on ne peut rester « tranquille », a estimé le pape dans son homélie matinale rapportée par Radio Vatican en italien : quand le peuple est tranquille, il persécute les prophètes qui dérangent, il se contente d’un « esprit de tiédeur » qui rend l’Eglise « tiède ». « Dans l’Église, a dénoncé le pape, quand quelqu’un dénonce toutes les formes de mondanité, il est regardé avec suspicion, cela ne va pas, mieux vaut qu’il s’éloigne ».
« Je me souviens sur ma terre, a confié le pape argentin, de beaucoup, beaucoup d’hommes et de femmes, de bons consacrés, pas idéologues, mais qui disaient : ‘Non, l’Église de Jésus est ainsi…’ – ‘celui-là est communiste, dehors !’, et ils les chassaient, les persécutaient. Pensons au bienheureux Romero… cela est arrivé pour dire la vérité. Et beaucoup, beaucoup, dans l’histoire de l’Église, ici aussi en Europe ».
« Pourquoi ?, s’est demandé le pape. Parce que le mauvais esprit préfère une Église tranquille, sans risques, une Église des affaires, une Église confortable, dans le confort de la tiédeur, tiède ». « Le mauvais esprit entre par les poches », a -t-il prévenu : « Quand l’Église est tiède, tranquille, toute organisée, qu’il n’y a pas de problèmes, regardez où sont les affaires ».
Dans la première lecture (Ac 16, 22-34), Paul et Silas emprisonnés, « priaient et chantaient les louanges de Dieu », conduisant à la conversion du geôlier qui « laissa déborder sa joie de croire en Dieu ». Pour le pape, « c’est le chemin de notre conversion quotidienne : passer d’un état de vie mondain, tranquille sans risque, catholique, oui… mais tiède, à un état de vie de la vraie annonce de Jésus Christ, à la joie de l’annonce du Christ. Passer d’une religiosité qui regarde trop les bénéfices, à la foi et à la proclamation : ‘Jésus est le Seigneur’ ».
« Une Église sans martyrs suscite la méfiance ; une Église qui ne prend pas de risque suscite la méfiance ; une Église qui a peur d’annoncer Jésus Christ et de chasser les démons, les idoles, l’autre seigneur, qu’est l’argent, n’est pas l’Église de Jésus », a insisté le pape François.
En conclusion, il a souhaité aux baptisés « une jeunesse renouvelée, une conversion d’une façon de vivre tiède à l’annonce joyeuse que Jésus est le Seigneur ».


lundi 27 février 2017

COMITÉ DE LITURGIE INTER-PAROISSIAL


« Même si elle n'est qu'un aspect de la vie du chrétien, la liturgie y occupe une place centrale, car elle est en quelque sorte un lieu de rencontre. C'est elle qui relie l'expérience spirituelle individuelle avec celle de la communauté. C'est en elle aussi que la vie de tous les jours et la foi expriment leur rencontre. » (Armand Veilleux, o.s.c.o., La Vie des communautés Religieuses, Montréal, Canada, 36 [1978], page 22).

Cette réflexion de Dom Armand Veilleux nous fait réaliser l’importance de la liturgie dans la vie de nos communautés paroissiales. Elle est le lieu de rencontre de la communauté. Une communauté qui ne se rencontre jamais n’est plus une communauté. On pourrait aller jusqu’à dire que la liturgie, et spécialement l’eucharistie, crée la communauté. C’est donc dire toute son importance et le soin qu’on doit lui apporter.

Dom Veilleux met aussi en évidence les deux dimensions importantes de la liturgie. Elle est à la fois communautaire et individuelle. Et cela se réalise d’une manière spéciale dans la célébration de l’eucharistie. À chaque fois que nous célébrons l’eucharistie, c’est une communauté qui se rassemble pour célébrer ce qui est le centre de sa foi : la mort et la résurrection du Seigneur. Mais cette communauté est formée de personnes qui sont toutes différentes les unes des autres, qui ont un cheminement spirituel particulier. Chaque personne doit se sentir accueillie telle qu’elle est dans nos rassemblements liturgiques, avec son passé, son présent et ses projets d’avenir.

« Quand deux ou trois sont rassemblés en mon nom, je suis là au milieu d’eux », dit Jésus. (Mt 18,20) La communauté rassemblée est aussi le lieu de la présence du Seigneur. Pour que ce signe soit de plus en plus évident, il nous faut donc veiller d’une façon toute spéciale à ce que nos célébrations soient vraiment signifiantes, que les paroles qui sont dites, que les gestes qui sont posés aient un sens facile à comprendre pour ceux et celles qui participent à la célébration. Lorsqu’on doit prendre un long moment pour expliquer un geste, c’est qu’il n’est pas facilement compréhensible. Alors il vaut peut-être mieux s’en abstenir.

Le comité de liturgie doit donc veiller à ce que nos liturgies soient les plus signifiantes possibles. Il doit toujours avoir à l’esprit que nos liturgies doivent être des moments où se bâtissent l’unité de la communauté et l’unité entre les communautés. En effet, chaque communauté ne doit jamais oublier qu’elle n’est pas seule, mais qu’elle fait partie d’une même Église qui est une communion de communautés.

Le Tournant missionnaire et le réaménagement pastoral de notre Église diocésaine nous invitent à repenser nos façons d’agir. Dans une Unité pastorale de 22 paroisses, on ne peut pas agir de la même manière qu'on le ferait dans une autre qui en contient 7.  Et la diminution du nombre de prêtres nous force aussi à adopter des nouvelles façons de faire.

Il nous apparaît de plus en plus évident qu’il nous faut aller vers des célébrations inter-paroissiales, à l’occasion de circonstances particulières. C’est pour cette raison qu’il nous semble important de créer des comités de liturgie qui regroupent plusieurs paroisses. Dans cette perspective, il pourrait y avoir un comité de liturgie qui regrouperait des personnes des paroisses de Saint-Pierre, Saint-François et Berthier-sur-Mer et un autre qui réunirait les paroisses de Cap-Saint-Ignace, Saint-Mathieu et Saint-Thomas.

Le rôle de ces deux comités de liturgie inter-paroissiaux sera de préparer les temps forts de l’année liturgique tels que l’Avent et le Carême, les célébrations de la Semaine Sainte, les célébrations spéciales comme la fête des jubilés ou autres. Ils auront aussi le mandat de déterminer dans quelle paroisse auront lieu ces célébrations. Ces comités verront à favoriser la participation du plus grand nombre possible de personnes des différentes communautés.

Chaque paroisse gardera son comité local de liturgie qui aura la responsabilité de voir à la préparation et au bon déroulement des célébrations qui ne concernent que sa paroisse. Il veillera à trouver et à former les personnes nécessaires à l’action liturgique : lecteurs, servants, ministres de la communion.

Cette nouvelle façon de faire favorisera « la mise en commun des ressources humaines et matérielles entre communautés locales qui est nécessaire et profitable à la mission. » (Un appel à la conversion missionnaire, diocèse de Sainte-Anne, Novembre 2016)

L’équipe pastorale de Montmagny-Nord
Michel Talbot, ptre, curé
Johanne Prévost
Luc Chénard, ptre
Francis Lemieux


20 janvier 2017

jeudi 9 février 2017

« On ne peut espérer tout seul »,


« On ne peut espérer tout seul », car l’espérance chrétienne n’est pas seulement « individuelle » mais « ecclésiale », explique le pape François dans sa catéchèse en français. Une espérance communautaire, qui porte au-delà même de la communauté, et qui est nourrie par la proximité, la consolation, la compassion, et se fonde sur la confiance que « Dieu aura le dernier mot ».
Le pape a poursuivi ses catéchèses sur l’espérance dans le Nouveau Testament en insistant sur cet aspect communautaire de la vertu théologale de l’espérance, ce mercredi 8 février, en la salle Paul VI du Vatican. Une synthèse en français de sa catéchèse lue par un collaborateur du pape.
« Frères et sœurs, l’Apôtre Paul nous enseigne que l’espérance chrétienne n’est pas seulement personnelle, mais aussi ecclésiale. Toute la communauté, en premier lieu les pasteurs, doit se faire proche des frères les plus éprouvés et qui perdent courage, par le réconfort de la consolation et de la compassion », a souligné le pape.
Il a affirmé cette dimension communautaire de l’espérance: « On ne peut espérer tout seul. Pour se nourrir, l’espérance a besoin d’un « corps » dans lequel les membres se soutiennent les uns les autres. »
L’espérance se fonde aussi sur l’esprit de pauvreté et la confiance en Dieu qui « aura le dernier mot »: « Mais seuls espèrent vraiment ceux qui font l’expérience de leur pauvreté et de leurs limites et restent confiants dans le Seigneur. Ce sont eux qui donnent le plus fort témoignage qu’au-delà de la tristesse et de la mort, le Seigneur aura le dernier mot. »
Mais plus encore, insiste le pape, « ce témoignage d’espérance ne doit pas rester clos dans les limites de la communauté ».

jeudi 12 janvier 2017

CONVERSION MISSIONNAIRE : TROIS CONVICTIONS HABITENT NOTRE ÉVÊQUE

À l’occasion de la rencontre annuelle pour l’échange des vœux, le 28 décembre dernier, Mgr Yvon Joseph Moreau a rappelé que le         « Tournant missionnaire » amorcé par notre Église diocésaine est plus un « esprit qu’un réaménagement des structures. » Se référant à la Lettre pastorale qu’il a communiquée aux communautés locales  en la solennité du Christ-Roi, Mgr Moreau a rappelé les trois convictions qui l’habitent : le « Tournant missionnaire portera les fruits attendus pour la vie de notre Église 
- s’il est profondément inspiré par la foi, l’espérance et la charité; 
- s’il est nourri par la prière personnelle et communautaire; 
- s’il est guidé par le souffle de l’Esprit Saint et la lumière de la Parole de Dieu.     
Quelques instants auparavant, Mgr Moreau avait dévoilé la constitution des trois tandems (prêtres modérateurs et coordinatrices) qui seront à l’œuvre dans les trois nouvelles Unités missionnaires :
- abbé Michel Talbot et S. Jocelyne Thériault, Unité Ouest; 
- abbé Christian Bourgault et Mme Marielle Gamache, 
  Unité Centre; 
- abbé Martin Patrice Pelletier et Mme Lorraine Beaulieu,
  Unité Est.     

Avant de céder la parole à Mme Marielle Gamache, invitée à présenter des vœux à l’évêque au nom du personnel pastoral,  Mgr Moreau a aussi invité ses auditeurs et auditrices à exprimer leurs observations et interrogations quant  à cette conversion missionnaire que nous sommes appelés à vivre.